Réputée à travers tout le Royaumes pour sa beauté et les richesses qu'elle contient, la Cathédrale Impériale jouxtant le Palais est le lieu de pèlerinage de prédilection pour plus d'un croyant.
Erigée au sommet d'un tertre parsemé de savants entrelacs d'escaliers en pierre blanche, elle surplombe l'environnement, offrant un panaroma des plus ravissant aux voyageurs s'arrêtant devant ses portes. Lourdes et imposantes, faites de bois de chêne dans lequel fut taillé bon nombre d'arabesque par des maitres ébénistes, ses loquets en métal lourd agrémenté de large plaque de fonte la rende presque impossible à enfoncer. Une mesure de sécurité qui pourrait sembler presque inutile pour un lieux de paix comme celui ci, et pourtant on est jamais à l'abri de quelques pillards peu scrupuleux.
Mais le clou du spectacle, c'est en son sein que l'on le découvre. Cette Nef aux piliers de marbres blancs ciselés de gris, ce dallage fin presque doux sous le pied, et ces peintures aux plafonds comme de véritables visions de rêves dans lesquels on pourrait se perdre des heures durant. La légende conte que plus de milles hommes ont usés leurs pinceaux pour réaliser pareil chef d'oeuvre. Et ce sobriquet de Cathédrale aux Milles Couleurs, elle le tient par ses vitraux aux couleurs chatoyantes, merveilles artistique des souffleurs de verres de ????. Dorures, tableaux et artefacts propres aux rites sacrés sont présent aux quatre coin de ce formidable édifice, sévèrement gardé par les moines résident dans l'enceinte inférieur. Au nombre d'une centaine, ces hommes de foi ne sont pas à sous-estimer pour autant car si ils sont là pour acceuillir les prêcheurs venu allumer un cierge, ils font aussi office de garde des lieux. Et l'Empereur n'est pas du genre a confier un tel endroit aux mains d'incapables savant.